Inlassablement, je donne des infos sur mon territoire, je me laisse embarquer par les questions pour lesquelles je détiens un bout de réponse.

On m’appelle avec une envie de Bordeaux, j’écoute, je prends et je donne des infos, des petites lumières s’allument dans mon cerveau, je note des mots, idées, une asso, un club, un lieu, un groupe etc…

Je vous demande alors de vous interroger en amont sur vos envies au travers d’un support.

Le questionnaire BGV sert à cela : Juger du sérieux et de la pertinence de votre désir de venir, éviter de vous égarer dans des coins de la ville ou de la métropole qui ne sont pas faits pour vous : trop loin, trop résidentiels, trop urbains ou pas assez, trop guindés, trop bobo, que sais-je.

Ce questionnaire l’air de rien me donne plein d’infos, il ébauche une conversation entre la ville, vous et moi.

Armé de ce dernier j’ébauche un profil, nos échanges intenses feront le reste afin d’affiner. Dans telle info anodine sur votre vie à Paris je décèle une mine pour de l’intégration future tant la concordance avec une ressource de notre territoire m’apparait, tant la connexion avec une connaissance de mon réseau semble évidente. Ma perception d’une personne doit « matcher » tout en agilité avec son futur territoire et s’adapter au tempo du futur néo bordelais tout en allant vite, pas simple .

Géographie, sociologie, empathie et bon sens pratique sont essentiels à mon activité, mêlé à une connaissance du territoire dans sa diversité du Nord au Sud et bien sûr un solide réseau sur lequel s’appuyer.

Me mettre à la place sans juger pour bien comprendre ce qui participera à la construction de votre bien être bordelais.

C’est subtil mais ça fonctionne.